Les quatre principes de la sélection naturelle sont la variabilité entre les membres d'une espèce, l'héritabilité des caractéristiques variables, les différences dans la capacité des membres de la population à se reproduire et la survie des plus aptes en termes de variabilité, d'héritabilité et de reproduction. La sélection naturelle est l'un des quatre mécanismes de l'évolution.
La sélection naturelle reconnaît le fait que les membres d'une population sont capables de produire plus de descendants qu'il n'en faut pour maintenir une population en bonne santé. La nature contrôle la taille de la population en permettant aux meilleurs spécimens des espèces de survivre et de se reproduire.
La variabilité entre les membres de la population fait référence à des différences dans des traits tels que la couleur des yeux ou des cheveux, et elle sert de fondement à la sélection naturelle. Les traits variables doivent être héréditaires, ce qui signifie qu'ils sont transmis d'une génération à l'autre. Les différences entre la capacité de reproduction des membres de la population font référence au fait que certains membres de la population sont capables de se reproduire et d'autres non. Ces trois facteurs se combinent pour aider à assurer la survie du plus apte, ce qui signifie que les membres de la population avec les traits les plus souhaitables se reproduisent et créent de nouveaux membres qui partagent ces traits, tandis que les membres avec des traits indésirables tombent dans l'obscurité.
Les autres mécanismes qui contribuent à l'évolution incluent les mutations génétiques parmi les membres, la migration des populations adaptées et la dérive génétique, qui est un processus aléatoire qui se produit lorsque le matériel génétique d'une espèce se retrouve dans d'autres populations.