En laboratoire, l'ébullition des chloroplastes empêche essentiellement la réduction du 2,6-dichlorophénol-indophénol (DPIP). Cet accepteur d'électrons artificiel est utilisé à la place du nicotinamide adénine dinucléotide phosphate (NADP+) pour mesurer la photosynthèse activité.
Les chloroplastes sont des structures spécialisées dans les plantes qui servent de site pour la photosynthèse. L'application de chaleur au-delà du niveau optimal entraîne la dénaturation des enzymes présentes dans ces unités, ce qui entraîne une baisse de l'activité photosynthétique.
Dans une configuration expérimentale, peu ou pas de réduction du DPIP indique que le NADP+ dans les chloroplastes bouillis ne sera pas converti en NADPH, qui est la forme réduite du NADP+. Avec l'adénosine triphosphate (ATP), le NADPH est vital pendant la phase de réaction sombre de la photosynthèse. Sans ces deux composants, la production de glucose n'est pas possible.