Selon l'écrivain scientifique Clare Smith pour SeattlePi, la membrane cellulaire est empêchée de s'effondrer par sa bicouche phospholipidique, le maintien de la température correcte, un cytosquelette et des jonctions cellulaires. Ces éléments sont nécessaires car la membrane cellulaire est l'un des composants les plus cruciaux d'une cellule.
Smith détaille ces quatre caractéristiques de la membrane cellulaire. Elle décrit la bicouche phospholipidique comme une région à la fois hydrophile et hydrophobe. Cela est dû aux molécules qui composent la membrane cellulaire. Une extrémité de ces molécules est attirée par l'eau, tandis que l'autre extrémité repousse l'eau. Cela empêche efficacement quoi que ce soit d'entrer ou de sortir de la cellule.
Smith décrit également la nécessité de maintenir la bonne température comme étant due à la fluidité naturelle des membranes cellulaires. Si une membrane devait descendre en dessous d'une certaine température, elle pourrait geler, perdre cette fluidité et s'effondrer, ce qui rendrait la cellule vulnérable.
Smith compare le cytosquelette d'une membrane cellulaire à un exosquelette. Il est composé de filaments de protéines, dont beaucoup se fixent à la bicouche phospholipidique et fournissent un support structurel. Ceci est particulièrement utile car les globules rouges doivent souvent se faufiler entre les cellules, ce qui met beaucoup de stress sur la membrane.
Enfin, Smith discute des jonctions cellulaires qui maintiennent les cellules ensemble. Cette dernière couche de protection a des ancres, appelées desmosomes, qui maintiennent les cellules ensemble en se connectant à leurs cytosquelettes.