Le principe de non-malfaisance fait référence au devoir des médecins d'éviter tout traitement réputé inutile ou agissant contre l'intérêt supérieur du patient. Un exemple d'action non-malfaisante est la décision d'un médecin de mettre fin à un traitement préjudiciable au patient.
Le terme non-malfaisance signifie « ne pas nuire » et est un principe éthique qui s'oppose souvent à la bienfaisance, ce qui implique de considérer les avantages d'un certain traitement et de les mettre en balance avec les effets secondaires possibles qui peuvent survenir. Les principes éthiques de bienfaisance et de non-malfaisance découlent du type paternaliste de relation médecin-patient qui n'a commencé à changer qu'au 20e siècle en donnant plus d'autonomie au patient, selon Alzheimer Europe.