Quels aliments mangent les musulmans ?

Quels aliments mangent les musulmans ?

Les musulmans mangent des aliments autorisés par le Coran et évitent de manger tout ce qui est spécifiquement interdit dans son texte. Ils s'abstiennent de consommer de la viande morte, du porc, du sang et de l'alcool. Ils évitent également la viande d'un animal sacrifié aux idoles ou tué par strangulation.

Selon la loi alimentaire islamique, les musulmans ne sont autorisés à manger que des aliments purs, propres et nourrissants. Certains aliments, comme le porc, sont considérés comme impurs dans l'Islam et sont strictement interdits. Lors de l'abattage de leur bétail, les musulmans égorgeaient rapidement l'animal en récitant le nom de Dieu. Une fois que l'animal saigne complètement, la viande devient « halal » ou prête à être consommée. Même si certains musulmans hésitent à manger de la viande à moins qu'ils ne sachent qu'elle a été abattue de cette manière, beaucoup d'autres consomment de la viande quelle que soit la façon dont elle a été abattue.

La plupart des musulmans d'aujourd'hui recherchent des ingrédients haram, tels que l'ergocalciférol et le stéarate de glycérol, avant de manger des aliments commerciaux. Par mesure de précaution supplémentaire, certains se réfèrent également à la liste d'ingrédients compilée par l'Islamic Food and Nutrition Council of America. Conformément au Coran et aux enseignements du prophète Mahomet, les musulmans évitent également de consommer des substances enivrantes, telles que la bière, le vin et le whisky, ou les drogues de rue modernes, même en petites quantités.

Les aliments haram comprennent tous les aliments à base d'alcool, les produits en conserve, le porc, le homard, les huiles de cuisson à base de graisse animale et tout produit à base de gélatine. L'alcool, la bière et le vin sont strictement interdits, de même que la viande et la volaille qui n'ont pas été abattus selon la zabihah, qui est l'abattage rituel. Zabihah décrit strictement comment un animal doit être tué afin de minimiser la souffrance et d'être plus hygiénique.