Dans le roman de J.D. Salinger, "The Catcher In The Rye", les canards du lagon de Central Park révèlent un côté jeune de Holden que le public voit rarement. Holden, qui est souvent sombre, grincheux et en colère tout au long du livre, se demande ce qui arrive aux canards en hiver une fois que l'étang de Central Park gèle.
Son souci de savoir où vont les canards et sa joie à leur retour représentent une curiosité et une joie de jeunesse à explorer d'autres sujets chez un personnage qui manque généralement de ces qualités dans d'autres parties de sa vie. Les canards transmettent également que le changement est cyclique plutôt que permanent. Le fait qu'ils reviennent apporte de l'espoir à Holden alors qu'il fait face à la mort de son frère.