Pendant la Révolution française, la France a vu la fin de la monarchie régnant sur le pays et a œuvré pour une représentation équitable des classes ouvrières. Pendant ce temps, les paysans se sont révoltés, ont pillé et ont protesté, et un nouveau gouvernement a été formé.
Vers la fin du XVIIIe siècle, la monarchie française a commencé à manquer d'argent en raison de son implication dans la Révolution américaine. Elle a donc imposé une taxe foncière à la plupart de la population. Cela aliéna la noblesse de la monarchie. Dans le même temps, le Tiers État, qui était la classe la plus sous-représentée de France, s'est développé jusqu'à représenter 98 % de la population. Finalement, le Tiers État a commencé à exiger un vote, et quand il n'a pas été accordé, ils ont formé leur propre assemblée nationale.
Au cours des mois de juin et juillet 1989, des révolutionnaires ont pris d'assaut la Bastille à Paris pour réclamer des armes et ont commencé à manifester dans les rues. Bien que les Français soient heureux de voir un déclin des pouvoirs royaux, ils ont d'abord essayé de former une monarchie constitutionnelle en 1791. En 1792, une montée des idéaux contre-révolutionnaires a finalement conduit à l'exécution du roi Louis XVI et de son épouse Marie-Antoinette. En 1793, le règne de la terreur de 10 mois a vu des milliers de contre-révolutionnaires présumés exécutés. Finalement, Robespierre, qui a délivré la plupart des ordres d'exécution, a également été exécuté. En 1795, l'arrivée au pouvoir de Napoléon marque la fin progressive de la Révolution française.