Une personne diagnostiquée séropositive a subi deux tests distincts pour les anticorps anti-VIH dans le corps et revient avec des résultats positifs, selon Aids.gov. Quelqu'un qui est séropositif n'a pas le SIDA mais peut le développer à l'avenir.
Pour un diagnostic précis de séropositivité, deux tests sont nécessaires, déclare les Centers for Disease Control and Prevention. Le premier test est un test immunologique, qui est très précis mais ne peut pas être utilisé pour établir un diagnostic final définitif du VIH.
Le deuxième test est un test plus sensible qui confirme la présence d'anticorps anti-VIH. Les anticorps anti-VIH ne se forment généralement que trois à huit semaines après l'exposition au virus, de sorte que les tests effectués plus tôt ne sont pas considérés comme précis, selon les Centers for Disease Control and Prevention. Certaines personnes ne fabriquent pas suffisamment d'anticorps pour que les tests puissent être détectés jusqu'à six mois après l'exposition, mais 97% des personnes infectées ont des anticorps détectables trois mois après avoir contracté le virus.
Parce qu'un diagnostic de séropositivité indique la présence du virus dans le corps, une personne avec ce diagnostic peut transmettre le VIH à ses partenaires sexuels ou aux enfants à naître dans l'utérus, rapporte Aids.gov. Le VIH n'est pas curable, mais une prise en charge médicale active du virus peut aider à l'empêcher de se transformer en SIDA à part entière.