Il existe un certain nombre de méthodes différentes d'euthanasie humaine, dont la plupart peuvent être classées en deux sous-types procéduraux, note Medical News Today. L'euthanasie active implique un acte extérieur d'un tiers ; l'euthanasie passive, c'est quand quelque chose est éliminé du régime de soins d'une personne, entraînant la mort de cette personne.
L'euthanasie humaine est un sujet très débattu, à la fois dans les communautés médicales et éthiques, et il est actuellement considéré comme un acte criminel de pratiquer l'euthanasie dans la plupart des régions des États-Unis. Cependant, l'euthanasie consensuelle est légale dans plusieurs autres pays, dont la Belgique et les Pays-Bas, ainsi que dans les États de l'Oregon et de Washington aux États-Unis.
L'euthanasie volontaire, c'est-à-dire l'euthanasie pratiquée avec le plein consentement du patient, est également connue sous le nom de suicide assisté. Dans cette classification, l'euthanasie peut être passive ou active. L'euthanasie passive implique le retrait du traitement de maintien de la vie, ce qui conduit éventuellement à la mort d'un patient. Dans certaines circonstances, la prescription d'un médecin de quantités toujours plus fortes ou plus importantes d'analgésiques opioïdes est considérée comme une forme d'euthanasie passive, note Medical News Today.
L'euthanasie active consiste en un acte ou des actes définitifs d'un tiers, qui met un terme consensuel à la vie d'un patient. Ces actes peuvent impliquer des drogues mortelles ou une action énergique et mortelle. Dans la plupart des États américains, ce type d'acte est actuellement classé comme un crime.
