Dans le poème "Huswifery", le poète Edward Taylor exprime un ton d'acceptation et d'espoir. Selon la rédactrice en chef de l'Université de Georgetown, Karen E. Rowe, l'orateur du poème s'attend à ce que Dieu l'utilise pour un but saint et de le revêtir de « robes de gloire ».
Dans "Huswifery", Taylor utilise la métaphore étendue de la vanité. L'orateur se compare à la laine transformée en robes majestueuses par Dieu. Selon Rowe, tout au long du poème, le locuteur expérimente une période de raffinement pendant que Dieu le « purifie ». L'orateur fait de Dieu le centre de sa vie afin qu'il puisse être utilisé pour la volonté de Dieu.
Le ton du poème montre l'acceptation de l'orateur pour cet usage. Cela montre également l'espoir de l'orateur que Dieu finira par le revêtir de « robes de gloire ». Selon la Poetry Foundation, la strophe d'ouverture commence par un ton de prière alors que l'orateur prie le "Maître Tisserand", ou Dieu.
Tout au long du poème, chaque partie du rouet est assimilée à un aspect de la vie spirituelle. Finalement, le poème progresse vers le métier à tisser. Comme l'explique la Poetry Foundation, l'orateur commence à accepter le rôle qu'il pense que Dieu lui a donné.
Dans la dernière strophe, l'orateur demande à Dieu de le revêtir de robes faites à partir du tissu filé et tissé des strophes précédentes. Le ton devient plein d'espoir, car l'orateur espère rendre gloire à Dieu en retour.