Une image satellite est une image de l'ensemble ou d'une partie de la terre prise à l'aide de satellites artificiels. Ces images ont diverses utilisations, notamment : la cartographie, le renseignement militaire et la météorologie. Les images satellitaires peuvent être des images en lumière visible, des images de vapeur d'eau ou des images infrarouges.
Les images satellites en lumière visible sont des photos de ce à quoi ressemblent le ciel et le sol depuis l'espace à un moment donné. Ce formulaire est principalement utilisé pendant les heures de clarté. Les prises de vue nocturnes peuvent être utilisées pour suivre l'habitation humaine ou pour documenter les sources lumineuses nocturnes.
Les images infrarouges détectent les modèles de chaleur dans les nuages et au sol. Étant donné que l'imagerie satellite infrarouge ne repose pas sur la lumière visible pour l'éclairage, ces images peuvent être prises à tout moment de la journée.
Les images de vapeur d'eau montrent l'humidité dans l'atmosphère, souvent sous forme de nuages. Ceux-ci sont utilisés pour suivre les tempêtes potentielles et les prévisions météorologiques générales.
Le CIMSS indique que les images satellites fournissent une bonne représentation de ce qui se passe partout dans le monde, en particulier au-dessus des océans où se produisent de grandes lacunes dans les données. Il améliore la précision des prévisions en permettant aux météorologues de comprendre beaucoup plus clairement le comportement de l'atmosphère. Les deux types de satellites en orbite autour de la Terre sont les satellites géostationnaires et polaires. Les satellites environnementaux opérationnels stationnaires géographiques restent au-dessus d'une région fixe de la surface de la Terre, à environ 22 500 kilomètres au-dessus de l'équateur. Ces satellites voient toujours la même partie du globe, car ils tournent avec la Terre, permettant aux météorologues de voir comment le temps évolue. En revanche, les satellites en orbite polaire orbitent à des altitudes plus basses, à environ 800 à 900 kilomètres au-dessus de l'équateur. Ils suivent un nouveau chemin sur chaque orbite. Les satellites géostationnaires sont plus utiles aux météorologues opérationnels, car les satellites polaires ne voient pas la même région en permanence.