La citation la plus célèbre de Madame Defarge dans "A Tale of Two Cities" vient du livre III, chapitre 12, où elle dit: "Alors dites au vent et au feu où s'arrêter, mais ne me dites pas."< /strong> Une fois la Révolution française éclatée, Madame Defarge est une force de premier plan dans le règne de la Terreur.
Madame Defarge a perdu toute sa famille lorsqu'elle était enfant, et la colère et le chagrin que ces pertes ont créés font d'elle un ennemi dangereux dans le roman. Elle veut sa revanche, non seulement sur la famille d'Aulnais qui a causé la mort de sa famille, mais aussi sur toute la classe noble française. Alors qu'elle reste patiente, attendant son heure jusqu'à ce que l'opportunité de se venger se présente, elle est tout sauf calme une fois que l'occasion se présente. La manière dont elle supervise la nouvelle arrestation de Charles Darnay démontre sa finesse et sa cruauté. Son tricot est un symbole de sa patience et de sa colère, alors qu'elle travaille si lentement pour tricoter les noms de chacun de ses ennemis.
Lorsque le monarque français fait venir des troupes étrangères pour combattre les rebelles à Paris, Madame Defarge fait une sage observation sur l'inefficacité d'une telle stratégie : « Les Parisiens affamés pourraient attendre longtemps avant de se lever pour combattre les soldats français ; mais contre embauchés, les troupes étrangères... n'importe quel jour... n'importe quelle heure", montrant la situation délicate dans la capitale française.
Quand Miss Pross affronte Madame Defarge, qui est à la recherche de la femme et de l'enfant de Charles, Madame Defarge essaie de l'intimider : "Cochon, écarte-toi de mon chemin ou je te brise en morceaux." Cela n'intimide pas Miss Pross, qui se résout à se battre assez longtemps pour laisser les deux fugitifs s'éloigner de la Révolution.