Des comparaisons homériques peuvent être trouvées tout au long du poème épique grec "L'Iliade". Les comparaisons homériques comparent généralement des événements, des personnes ou des objets, et elles sont généralement détaillées, contenant plusieurs lignes.
Par exemple, les lignes 657 à 665 du livre 17 de "L'Iliade" se lit comme suit : "comme un lion qui quitte la basse-cour quand il est épuisé en attaquant les chiens et les hommes qui ne lui permettent pas d'emporter le plus gros du bétail , restant éveillé toute la nuit. Avide de viande, il continue d'attaquer, mais n'accomplit rien. Car les lances jaillissent constamment de mains courageuses et de torches allumées qu'il craint même s'il est impatient. Puis à l'aube il s'éloigne le cœur renfrogné. Ainsi fit Ménélas, bon au cri de guerre, partez de Patrocle."
Un autre exemple d'une comparaison homérique est tiré de "L'Iliade", livre 8, lignes 555 à 560 : "Comme quand dans le ciel les étoiles autour de la lune brillent sont vues dans toute leur splendeur, calme, et tous les lieux de garde des collines sont clairs, et les hautes épaules, et les ravins, comme l'air brillant sans fin se déverse des cieux, et toutes les étoiles sont vues, pour réjouir le cœur d'un berger; tel dans leur les chiffres ont allumé les feux de guet." Dans cette comparaison, les feux de guet de Troie sont comparés à des étoiles dans le ciel.