Un exemple de soliloque dans la pièce de William Shakespeare "Jules César" se trouve dans la scène 1 de l'acte II aux lignes 10 à 34. Il est prononcé par le personnage de Brutus, l'un des principaux conspirateurs de la mort de César.
Brutus est seul dans son verger. Il révèle qu'il sait que César doit mourir. Il est évident que César doit être couronné roi, et Brutus pense que recevoir ce pouvoir est susceptible de changer César pour le pire.
Dans son discours, Brutus raconte comment, une fois qu'une personne a gravi une échelle, il se retourne souvent contre ceux qu'il a croisés en grimpant. A la fin du soliloque, Brutus conclut que la perspective de l'accession au pouvoir de César est un danger qui doit être écarté par sa mort.